Amsterdam



Amsterdam, Musée Allard Pierson Museum, Inv. N° 192. Exposée dans la salle 17. Découverte en Eypte. Achetée en 1902 par Lunsingh Scheurleer et acquise en 1929 par le Musée Allard Pierson. «De ogen staren dromerig voor zich uit» (Mariet Schuurmann, 1976)

Antalya (Turquie)

Antalya, Turquie. Musée d’Antlaya (Antalya Müzesi), Inv. Nº: I.S.2.44. Buste d’Antinoüs du 2ème siècle ap. JC, trouvé lors de fouilles effectuées à Perge (Perga), la capitale de l’ancienne Pamphylie aujourd’hui incorporée dans la province d’Antalya, dans le sud de la Turquie, sur la côte méditerranéenne. Le site archéologique de Perge se trouve au village de Murtana, à environ 18 km d’Antalya. La majorité des ruines datent de l’époque romaine. Photo : Juan Antonio Llorente ©
Aquileia (Italien)



Aquileia, Musée archéologique, Inv. N° 251.

Astros (Grèce)


Astros, Musée archéologique. Exposé depuis sa découverte. Torse d'une statue assise d'Antinoüs, découvert en septembre 1996 dans la villa voisine d'Hérode Atticus à Eva, près de Loukou, en Grèce. A notre connaissance, cette statue est le porterait d'Antinoüs le plus récemment découvert.


Astros, Musée archéologique. Inv. N° 173. Exposé. Buste découvert en 1977.
Athènes




Athènes, Musée archéologique national, Inv. N° NM 417. Exposé dans la salle 32. Découvert en 1857 à Patras. «Son regard d'une tristesse mystique et rêveuse» (Semni Papaspyridi, 1927)


Athènes, Musée archéologique national, Inv. N° NM 418. N'est plus exposé depuis 1940. Découvert en 1857 à Patras, en même temps que MN 417. «Eines der schönsten und edelsten Antinoosbildnisse» (Theodor Kraus, 1959)



Athènes, Musée archéologique national, Inv. N° NM 518. Non exposé.


Athènes, Musée archéologique national, Inv. N° NM 698. Non exposé.



Athènes, Musée archéologique national, Inv. N° NM 3558. Non exposé.



Athènes, Musée archéologique national. Non exposé. Découverte en 1960 dans la rue Hermès.


Athènes, Musée Archéologique National. Statue en marbre d'Osiris (Antinoüs ?), provenant du temple d'Isis construit par Herode Atticus (101-176 ÉC), près de Mikro Elos à Brexiza, Marathon (Attique).


Athènes, Agora. Exposée. Statue cuirassée d'Hadrien découverte le 25 juillet 1931. Les deux figures de jeune homme vues de profil sue les hanches d'Hadrien ont été généralement (mais de manière peu convaincante) prises pour Méduse, bien qu'elles rappellent indéniablement les traits d'Antinoüs. La statue a été redressée près de l'endroit de sa découverte le 9 février 1932 (première image), où elle se trouve toujours aujourd'hui. «In profile and hair-style with a fillet, it is almost identical with the idealised statue of him as an ephebe later to be raised in Olympia» (Royston Lambert, 1984)

Berlin



Berlin, Altes Museum, Inv. N° R.56. Exposée dans la salle 30. Actuellement (2005) prêtée pour une exposition tenue à Tokyo et Kobe. Antinoüs représenté en Dionysos. Origine inconnue. Au 16ème siècle, elle était la propriété de Giovanni Grimani. Acquise en 1859 par l'Altes Museum. «Torso eretto e robusto, testa con lineamenti precisi e accurati» (Pirro Marconi, 1923)


Berlin, Altes Museum, Inv. N° R.57. Exposée dans la salle 30. Portrait avec couronne de myrte. Acquise au Caire en 1878. «Knabenhafter, schlichter, unpathetischer, etwas verträumter und von jugendlicher Schwermut bedrängter Kopf, mit erlesener Sorgfalt gearbeitet» (Walter Hahland, 1954)

Berlin, Altes Museum, Inv. N° R. 58. Acquise par le cardinal français Melchior de Polignac durant son séjour à Rome dans les années 1720. Achetée en 1742 pour Frédéric II le Grand à Paris, après la mort du cardinal. «Trotz der starken Ergänzung unverkennbares Porträt des Antinoos» (Alexander Conze, 1891)


Berlin, Antiken Sammlung, Inv. N° R.60 (anciennement: SK 364). Provient probablement de la collection Polignac. Déjà mentionné à Charlottenbourg (Berlin) en 1753. «Ein sympatisches, etwas ins Sentimentale umgedeutete Bildnis des schönen Knaben» (Robert West, 1941)

Berlin, Pergamon Museum, Inv. N° Sk 510 (torse) and K 136 (tête). Exposée. Le torse a été trouvé dans le Tibre près de Rome, probablement au milieu du 18ème siècle, et complété par les bras et les jambes, et par une tête inspirée de l'Antinoüs du Capitole. Mentionnée pour la première fois ainsi restaurée en 1775, à Potsdam. Les jambes, les bras et le tronc de palmier ont été modifiés par Daniel Rauch vers 1825/26. Exposée ensuite dans l'Altes Museum dès son inauguration en août 1830. «Die breiten wagerechten Schultern, die hohe Brust, das eingezogene Kreuz und die schmalen Hüften sind charakteristische Züge älterer griechischer Kunst, der das Vorbild dieser Arbeit römischer Zeit entstammen wird. Demnach kann die Ergänzung als Antinous nicht das richtige getroffen haben. «Die breiten wagerechten Schultern, die hohe Brust, das eingezogene Kreuz und die schmalen Hüften sind charakteristische Züge älterer griechischer Kunst, der das Vorbild dieser Arbeit römischer Zeit entstammen wird. Demnach kann die Ergänzung als Antinous nicht das richtige getroffen haben» (Alexander Conze, 1891)
Voyez également la réplique dans le parc de Sans-Souci à Potsdam, sur notre page consacrée aux copies




Berlin, Pergamon Museum, Antikensammlung Inv. N° Sk 361. Antinoos en Agathodémon. Statue acéphale complétée avec une tête d'Antinoüs ne lui appartenant pas. Acquise du temps de Frédéric II le Grand, vers 1760, auprès de l'atelier du sculpteur Cavaceppi, à Rome, et exposée devant le Nouveau Palais, à Potsdam. Dans l'Altes Museum depuis 1830. «Eine bedeutende Zierde der königlichen preussischen Sammlung» (Konrad Levezow, 1808).
Voyez également la réplique dans le parc de Sans-Souci à Potsdam, sur notre page consacrée aux copies

Bruxelles

Bruxelles, Musée du Cinquantenaire. Tête d’Antinoüs, fragment d’un bas-relief. Origine inconnue; sa facture permet de l’attribuer à un atelier romain et de le supposer provenir d’une villa impériale, peut-être Tivoli.
Caire

Les amants d’Antinopolis. Le Caire, Musée Egyptien, Inv. CG 33267. Exposé dans la Salle 14, au premier étage. Portrait funéraire trouvé à Antinoopolis, probablement par Albert Gayet, qui mit au jour de nombreux portraits dans cette région dans les années 1891 à 1911. Présenté à l’Exposition Universelle de 1900 à Pa ris. Il s’agit d’un portrait double, d’un diamètre 61 cm, daté des années 130-140 ap. J.C, d’abord connu comme le Tondo des Frères. Certains experts pensent actuellement que les deux personnages représentés étaient amants. D’une plus grande importance sont les petites représentations de dieux gréco-égyptiens placés au-dessus de leurs épaules. Le personnage aîné est protégé par Hermanubis, un dieu des ténèbres ; le plus jeune est sous la protection d’une divinité d’abord identifiée comme Harpocrate, dans laquelle Klaus Parlasca, dans "Mumienporträts und verwandte Denkmäler" (1969), reconnut Osiris Antinoüs, le dieu protecteur d’Antinoopolis. Ceci ferait du tondo la seule peinture d’Antinoüs à nous être parvenue, et les seules représentations de deux membres probables de son culte.
Calvi (Italie)



Calvi Risorta, Museo Archeologico dell'antica Cales. Calvi en Campanie était autrefois appelée Cales, ville importante et renommée pour ses terres cuites. Ce buste en terre cuite d’Antinoüs (hauteur 40 cm ) est un exemple de cette production, et était exposé au Musée archéologique de Calvi jusqu’à ce que le bâtiment soit sérieusement endommagé par le tremblement de terre de 1980. Il est conservé depuis lors dans les réserves du Musée Archéologique National, à Naples.

Cambridge (Grande Bretagne)



Cambridge, Fitzwilliam Museum, Inv. N° GR.100.1937. Exposé dans la "Roman Room". Antinoüs en Dionysos. Trouvé dans la Villa Hadriana, en 1769. Appelé "Antinoüs Lansdowne" d'après le nom de ses propriétaires (la Maison Lansdowne) de 1771 à 1930. «Die großartigen, idealen Züge des Gesichts geben ihm eine ausgezeichnete Stelle in der Reihe der Antinousbildungen» (Karl-Ottfried Müller, 1824).
Chalkis (Grèce)



Chalkis, Musée archéologique, Inv. N° MX 32. Exposée dans la "Central Room". Antinoüs en Dionysos, couronné de lierre et vêtu d'une peau de léopard. Trouvée dans les thermes de Loutra, près d'Aidepsos. «One of the most celebrated sculptures from the Roman period in all Euboea» (Efi Sapouna Sakellaraki, 1995)

Chatsworth (Grande Bretagne)



Chatsworth, Collection du duc de Devonshire. Origine inconnue. «Eine virtuose Behandlung» (Christoph Clairmont, 1966)

Cherchel (Algérie)



Cherchel, Musée. Trouvée au début des années 1950 dans les thermes de Cherchel.

Chicago




Chicago, The Art Institute of Chicago, Inv. Nº 979. Exposé dans la galerie 156. Portrait romain en marble d’Antinoüs, 2ème siècle ap. J.C. Acquis par Charles Lawrence Hutchinson (1854-1924), l’un des fondateurs de l’Art Institute, et légué au musée par sa veuve en 1924.